tu m'effraies lorsque tu t'écartes des bornes de mes veines rugueuses
nos insomnies communes nous troublent nous reportent vers d'autres soucis
dans la soute à bagages des laissez-passer aux regards fermés
de geindre ça devient des cris saisissants ça se répond par en dedans et ça craint la disparition
tu aurais eu raison de clamer l'innocence de tous nos ennemis si seulement tu avais su tu savais ma mort avant... ou après?
mercredi 14 janvier 2009
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